La pratique professionnelle du piano suppose une discipline stricte.
Elle exclut tout divertissement susceptible d'eloigner l'artiste de son clavier.
Pourtant il aimerait, lui aussi, jouir de la lumiere du monde, de la douceur de vivre, de la tiedeur de l'air et de l'amour des femmes.
Eh bien non : mort ou vif, le pianiste se doit d'abord a son public.