Muni d'un carnet, d'une paire de ciseaux et de son smartphone, Antonio Munoz Molina marche dans Paris, New York, Madrid, Lisbonne.
Il y compose le grand poeme de ce siecle, tandis qu'apparaissent au detour d'une ruelle Baudelaire, Edgar Allan Poe ou Fernando Pessoa.
D'une voix profondement ancree dans le moment present, cet eloge erudit de la flanerie nous invite a regarder et a ecouter d'une autre facon, et a celebrer la variete du monde.